Je ne leurs dit pas que c’est le poids de ton absence
Qui m’empêche de parler ou de rire de leurs futilités
Ni que tu est trop important à mes yeux pour que je puisse te partagé
De toute façon ils ne me demandent pas pourquoi je reste dans le silence
Tu sais mon cerveau est envahit de contes, de rêves et de fables
Et ma conscience n’est plus qu’envie irréalisable
Je ne cherche plus le responsable
Tu es sans le savoir ma victime, mon coupable
Tu m’emprisonnes dans mes pensées
Mais je ne leur dis pas que si j’y reste emprisonné
C’est qu’il me manque des tonnes dans ma réalité
Tu sais j’ai peur d’affronté la vérité
Dans mes rêves je n’ai pas étais viré de mon lycée
Dans mes rêves j’ai toujours les mêmes amis
Mais dans mes rêves je me mets à leurs parlés
A leurs raconté combien je me sens bien dans ma vie
Dans mes rêves je te lis deux fois ce poème
Et je te vois comprendre qu’il est temps pour moi de prendre l’aller simple pour la réalité
Mais tu sais je n’arrive pas à redescendre sur la planète
Où tu ne vois même pas que tu sèmes les seuls rêves qui poussent dans ma tête