Dans la lueur de tes pupilles si noir,
Je réprime mes désirs si dérisoires,
Cette haine à jamais refoulée en moi,
Ne demande qu’à être libérée juste une fois
Sans que je comprenne pourquoi,
Je me libère et me fait mal à cause de toi,
Si seulement j’arrivais à garder le contrôle,
Je pourrais enfin ne plus jouer un rôle.
Etre moi pour l’espace d’un instant,
Cela m’est interdit sinon le mauvais temps,
La tempête s’accable et grandit,
Mes orages s’espace mais s’intensifie.
A jamais je garderai mon silence,
Pour toi seulement je n’aurais de démence,
A toi mon amie je feinte d’être calme,
Pour te protéger de moi je reste calme.